Le temps de sommeil optimal pour un enfant

Avant de parler de temps et de cycle de sommeil, il faut noter que pour bien dormir, les petits ont besoin d’une literie confortable. Où acheter un matelas pour enfant ? En ligne ou dans les grands magasins. En faisant confiance aux enseignes connues, vous avez l’assurance d’avoir un matelas conçu pour s’adapter à la morphologie et à l’âge de votre enfant.

Tout comme les adultes, les enfants ont également un cycle de sommeil. Ce dernier se divise en trois phases. La première phase est l’endormissement. La deuxième phase concerne le sommeil profond et enfin, arrive le sommeil paradoxal. C’est durant cette dernière phase que l’enfant fait des rêves. Pour les enfants en bas âge, les cycles de sommeil sont plus courts. Pour les petits de moins de 3 ans, ces cycles durent environ 75 minutes. Pour les enfants de 5 ans ou plus, ils commencent à avoir la même durée de cycle que les adultes, environ 90 minutes.

Les bébés ont besoin de dormir plus de 15 heures par jour. Pour les enfants de 1 à 2 ans, le temps de sommeil idéal est de 12 à 13 heures par jour. Vers 3 à 5 ans, les enfants dorment à peu près 10 heures par jour. Quant aux petits de 6 à 11 ans, ils ont besoin de 9 heures de sommeil au minimum. Pour les adolescents, le besoin de sommeil varie entre 8 à 9 heures.

La durée et la qualité du sommeil doivent être respectées. Sinon, l’enfant risque d’avoir des troubles de l’humeur et des problèmes de croissance.

Quels sont les différents types de troubles du sommeil chez l’enfant ?

Difficultés d’endormissement, insomnies, réveils fréquents, ce sont les différents troubles du sommeil que peuvent rencontrer les enfants.

Les réveils nocturnes

Parmi les troubles les plus fréquents, qui empêchent les enfants de profiter d’un bon sommeil, on note les réveils nocturnes. Ces troubles peuvent avoir plusieurs causes. Des activités trop stimulantes avant d’aller se coucher sont, dans la plupart des cas, la source de ces réveils fréquents. Certains enfants sont de « petits dormeurs ». C’est dans leur nature de se réveiller plusieurs fois au cours de la nuit.

Les parasomnies

Ce phénomène englobe toutes les manifestations inhabituelles constatées durant le sommeil de l’enfant. Pour les enfants qui ont moins de 6 ans, ce sont principalement les terreurs nocturnes qui causent des problèmes de sommeil. L’enfant se réveille brusquement alors qu’il est dans la phase de sommeil profond. Il est effrayé et montre des signes d’anxiété. Les cauchemars, quant à eux, surviennent dans la phase de sommeil paradoxal. Ils touchent également les moins de 6 ans. L’énurésie peut également troubler le sommeil des petits. On considère un enfant d’énurétique quand il urine dans son lit deux fois au cours de huit heures de sommeil.

Les conséquences d’un mauvais sommeil sur l’enfant

Les troubles du sommeil ont de nombreuses conséquences sur l’évolution et l’épanouissement de l’enfant.

Effets à courts termes

Les enfants qui souffrent de problèmes de sommeil présentent des troubles cognitifs. À l’école, ils ont des difficultés à se concentrer et à focaliser leur attention. Ils ont, bien évidemment, des états de somnolence. Ces soucis provoquent forcément des problèmes d’apprentissage et d’assimilation des cours.

Effets à moyens termes

Un peu plus tard, ces enfants vont avoir des problèmes de poids. Le fait qu’ils aillent au lit à des heures irrégulières provoquera des problèmes d’appétit. À l’adolescence, beaucoup de ces enfants prendront excessivement du poids. Aussi, on constate une hyperactivité des préadolescents qui ont des problèmes de sommeil. Cette hyperactivité est concomitante d’une intolérance au stress et à l’irritabilité.

Effets à longs termes

Sur le long terme, les enfants qui souffrent de troubles du sommeil auront des difficultés à gérer leurs émotions. Sautes d’humeur, agressivité, impulsivité, imprévisibilité, dépression, etc. Ce sont les conséquences psychologiques d’un mauvais sommeil chez l’enfant. L’hyperactivité sera plus accentuée. Les problèmes de concentration et d’attention seront de plus en plus intenses. Et enfin, les problèmes d’appétit conduiront l’enfant soit à un amaigrissement exagéré soit à une prise de poids excessive.

Les solutions pour améliorer la qualité du sommeil d’un enfant

Une literie de qualité

Essayez de détecter la source des problèmes de sommeil de votre enfant. Ne cherchez pas très loin, commencez par la literie. Pour dormir sereinement, votre enfant a besoin d’une literie confortable et douillette. Sa chambre doit être un lieu propice au sommeil et au repos. Choisissez le décor en fonction de ses préférences. Le matelas, le lit, la luminosité, le style de décoration, etc. Tout doit être minutieusement choisi pour lui assurer des nuits calmes.

Une bonne hydratation et une alimentation saine

Aussi, veillez à ce que votre enfant s’hydrate et mange suffisamment de fruits et légumes. Il faut bannir les sucreries et les aliments riches en gras de son alimentation.

Une routine de sommeil

Mettez en place de bonnes habitudes pour que votre enfant ait une routine avant d’aller au lit. Les heures du coucher et du lever doivent rester inchangées. Pour éviter que votre enfant se couche et se réveille aux heures qu’il choisit.

Vous avez un enfant en bas âge ? Commencez dès maintenant à mettre en place des actions pour qu’il puisse bénéficier d’un sommeil de qualité. Des nuits agitées et perturbées ont des conséquences néfastes sur le développement des plus jeunes.

Les bienfaits des exercices de respiration

Une respiration rapide et courte rend une personne nerveuse alors qu’une respiration contrôlée apaise rapidement. Le yoga aide à avoir une respiration calme et à contrôler son souffle. Par les exercices de respiration, le yoga diminue la fréquence cardiaque. Ces exercices respiratoires permettent également d’améliorer la circulation sanguine, la qualité du sommeil et les fonctions digestives.

Les bienfaits des exercices de méditation

Les exercices de concentration ou de méditation pratiqués lors des séances de yoga permettent d’améliorer les facultés intellectuelles et favorisent l’évolution spirituelle. Les personnes pratiquant le yoga ont souvent une clarté mentale. La méditation élimine les pensées négatives et augmente la joie de vivre. Le yoga permet aussi une bonne maîtrise de soi et une plus grande ouverture aux autres.

Les bienfaits des exercices physiques

Les approches globales du yoga consistent à travailler l’esprit et la respiration, elles permettent également de tonifier le corps. En effet, lors d’une séance de yoga, en plus du travail sur la respiration, plusieurs exercices physiques, postures et enchaînements sont pratiqués. Ces exercices aident à :

– Avoir plus de souplesse.
– Revitaliser tous les organes internes (certaines postures opèrent un massage en douceur sur le corps).
– Revitaliser l’ensemble du corps en faisant mieux circuler l’énergie, de la tête aux pieds.
– Tonifier les muscles : lors des séances de yoga, les muscles sont très sollicités.
– Gagner en souplesse : grâce à des exercices répétitifs, les différentes parties du corps qui avaient tendance à être bloquées vont naturellement s’assouplir.
– Développer l’endurance.
– Renforcer le système immunitaire et donc résister aux rhumes et aux autres maladies chroniques.
– Soulager les femmes qui souffrent du syndrome prémenstruel.

Les bienfaits des exercices de relaxation

Grâce aux exercices de relaxation pratiqués pendant les séances, le yoga permet d’apprendre à se détendre et de refouler l’anxiété. Il aide à mieux gérer le stress et à éliminer les émotions négatives. Cela va également avoir un impact positif sur la qualité du sommeil, la force psychique et la digestion.

En effet, l’objectif du yoga est d’harmoniser le mental et le corps avec le monde qui nous entoure. Vous souhaitez apprendre le yoga ? Ce confinement, c’est l’occasion de s’y initier.

En cette période de distanciation sociale où l’isolement est absolument nécessaire pour limiter la propagation du Covid-19, suivre des cours en ligne est la meilleure solution. Comment ? Grâce à l’avènement des appels vidéos, il est désormais possible de pratiquer le yoga par visio sur smartphone ou ordinateur. Plusieurs studios de yoga optent pour la visio pour donner des cours. Le studio de yoga et pilates (à découvrir ici) en est un exemple. Ce studio, situé dans le centre de la France, près de Châteauroux, donne des cours de yoga pour les enfants (à partir de 3 ans), les femmes enceintes, les ados, etc.

Comment obtenir un carnet de santé ?

Le carnet de santé de l’enfant est remis gratuitement aux parents à la déclaration de naissance. Il peut être délivré par l’hôpital dans lequel l’enfant est né ou par la mairie. Si un enfant n’obtient pas un carnet de santé à sa naissance, ses parents peuvent toujours en demander auprès du centre de protection maternelle et infantile (PMI) de sa région. Notons qu’un enfant né à l’étranger, mais qui vient de temps en temps en France peut aussi demander un carnet de santé.

Quel est le rôle de ce carnet ?

Ce carnet permet aux spécialistes et aux parents de l’enfant de suivre l’évolution de l’état de santé de bébé jusqu’à l’âge adulte. L’utilisation du carnet est exclusivement dédiée aux professionnels de santé, et cela avec l’accord des parents. A chaque fois qu’un spécialiste note une information dans ce carnet, il doit mettre sa signature avec un tampon de son cabinet afin de pouvoir le reconnaître. Le carnet de santé est un dossier médical confidentiel essentiel à présenter au médecin à chaque consultation.

Que contient le carnet de santé ?

Le carnet de santé renferme toutes les informations importantes concernant les conditions de santé de l’enfant, notamment ses principales pathologies, ses allergies, ses antécédents familiaux, ses périodes d’hospitalisation, ses examens radiologiques et les traitements qu’il a déjà suivis. Le carnet montre aussi l’évolution de l’état de l’enfant à chaque tranche d’âge, notamment le développement de son ouïe et de sa vue, son développement moteur, l’évolution de son langage ainsi que de sa lecture, etc. On y trouve également les vaccins accomplis sur l’enfant avec leurs dates, ainsi que les périodes de rappels. C’est d’ailleurs pour cela qu’une copie de cette page du carnet de santé est souvent exigée comme preuve de vaccination lors de l’inscription de l’enfant dans une école.

Que faire si on perd le carnet de santé ?

Il est toujours possible d’en refaire une demande. Vous devez pour cela présenter l’acte de naissance de l’enfant. Cliquez ici pour obtenir facilement l’acte ou l’extrait de naissance de votre enfant. Le nouveau carnet de santé reçu, vous devez aller chez le médecin de l’enfant pour qu’il puisse y remettre les informations essentielles concernant l’état de santé de l’enfant.

Connaitre la mutation génétique

Un test génétique détecte généralement les modifications de ses gènes et de sa protéine structurelle, puis évalue la probabilité qu’un individu hérite d’un trouble génétique. Les résultats peuvent également être utilisés pour déterminer le risque de transmission de certaines mutations génétiques à leurs enfants par les parents. L’échantillon recueilli est ensuite examiné pour détecter toute anomalie génétique.
Si les résultats que vous obtenez sont positifs, ce qui indique la présence de mutations génétiques, vous êtes au moins préparé suffisamment tôt et vous pouvez commencer à modifier votre mode de vie. Si les résultats sont négatifs, vous aurez l’esprit tranquille si, pour une raison quelconque, vous croyez avoir hérité d’une maladie.

Connaître votre état de santé

Faire un test génétique vous aidera également à être au courant, car les médecins seront un peu plus précis lorsqu’ils vous donneront des informations sur votre maladie. Cela vous permet de commencer le traitement de votre maladie le plus tôt possible. Cela est particulièrement utile pour les personnes qui connaissent des membres de leur famille souffrant de maladies telles que le cancer du sein. Sachant que vous portez ce gène pourrait vous aider à prendre des mesures préventives telles que les médicaments de traitement hormonal. Certaines personnes présentant un risque élevé de contracter ce cancer peuvent également opter pour un enlèvement chirurgical de leurs seins et de leurs ovaires avant le début de la maladie.
Les tests génétiques sont également très utiles pour les personnes qui envisagent d’avoir des enfants dans le futur. Connaître votre santé et savoir si vous êtes porteur de certaines mutations génétiques peut vous aider à décider si vous souhaitez avoir des enfants, car certaines personnes choisissent de ne pas les avoir si elles peuvent transmettre ces conditions médicales.

Le test ADN de paternité

Très courant, le test ADN de paternité permet de lever le doute sur le père biologique d’un enfant. Cette analyse peut même être effectuée à partir de la 10e semaine de la grossesse. Les laboratoires comparent le patrimoine génétique du supposé père avec la signature ADN extraite des cellules fœtales dans le sang de la mère. Un test de paternité peut aussi être effectué avec les prélèvements sur un bébé et un adulte. Pour effectuer ce type de test, il faut commander un kit en se rendant sur www.vaterschaftstest-dna.com par exemple. On renvoie ensuite le kit avec les échantillons de salive ou de cheveu de l’enfant et de son présumé père. En fonction du laboratoire choisi, les résultats sont obtenus sous 7 jours au maximum.

Les tests de maternité

Dans le cas d’un enfant adopté, le test de maternité permet de retrouver la mère biologique. Il faudra alors envoyer les échantillons d’ADN de la supposée mère et de la personne adoptée. Les résultats du laboratoire sont envoyés par e-mail au bout de 5 jours ou un peu moins. Le test de maternité est fiable à 99,9 %. Il peut également être une source de désillusion totale. Le tribunal peut ordonner ce type d’analyse ADN dans le cas d’un soupçon d’échange de bébé à la maternité, lors de la naissance.

Les tests pour établir les liens de parenté

La comparaison de patrimoine génétique permet de retrouver les liens de parenté. Les enfants perdus ou confiés à une famille d’accueil peuvent se rapprocher de leurs frères et sœurs biologiques en comparant les ADN. Parfois, des jumeaux font un test pour savoir s’ils viennent du même ovule ou non. Depuis quelque temps, il est possible de connaître l’intégralité des séquences génétiques. Ainsi, certains couples demandent un test pour savoir à l’avance si leur progéniture est exposée à certaines maladies héréditaires.

Comment l’ADN agit-il sur les goûts ?

Un test sur Pro-Paternité sert à identifier les liens de paternité grâce aux données relevées sur les ADN des personnes concernées. Mais savez-vous que vous pouvez utiliser votre test d’ADN pour connaître vos goûts ? Pour ce faire, les personnes qui veulent essayer le test doivent envoyer un échantillon de salive à un laboratoire. À l’issue du test ADN, on peut révéler les préférences alimentaires d’une personne. Si on prend l’exemple du vin, on peut savoir qu’une personne préfère le goût fruité au goût du terroir. En matière d’alimentation en général, il est possible de savoir si une personne a plutôt un faible pour les aliments sucrés, salés ou acides. Ce genre de test séduit de plus en plus les parents pour mieux alimenter leurs enfants. En sachant quel est le goût alimentaire de votre fils ou de votre fille, vous pouvez facilement composer les menus au cours de la semaine. Mais, cela ne consiste aucunement à limiter l’alimentation aux préférences d’une personne. Il permet également d’apprendre à diversifier doucement et progressivement votre alimentation pour apprécier toutes les saveurs et contrôler les apports nutritionnels.

Qui peut réaliser ce test ?

Vous pouvez vous tourner vers un médecin généraliste ou plutôt un nutritionniste pour effectuer ce test. Le professionnel de la santé et de la nutrition établit d’abord un examen clinique basé sur un questionnement ou un formulaire à remplir. Après, vous convenez ensemble d’un test ADN pour déterminer vos goûts en matière d’aliments. Ainsi, le nutritionniste peut établir un régime en fonction non seulement de votre goût, mais de vos objectifs. C’est notamment le cas pour un régime amincissant, un régime équilibré ou un régime dans le cadre d’un traitement d’une maladie précise comme le diabète.

La vaginose s’évite par une bonne hygiène

Les bactéries à l’origine de la vaginose sont des microbes opportunistes. Dès la moindre baisse de vigilance, elles se développent. Une forte transpiration ou une baignade devrait être suivie d’une bonne douche. Faites tout de même attention : il ne faut pas utiliser des produits désinfectants trop puissants. Se laver les parties intimes avec du savon ou un gel agressif serait une erreur. Cela déséquilibre davantage la flore vaginale et mettra au KO la défense immunitaire locale.

La mycose vaginale s’attrape par le sable

Avec la mycose vaginale, le problème viendrait davantage des champignons microscopiques. Ces derniers ont la fâcheuse habitude de se développer dans des endroits aussi accueillants que les muqueuses vaginales. Ces squatteurs sont particulièrement nombreux sur le sable de la plage. Ils ont tendance à se développer dans un milieu acide. Alors, l’eau chlorée de la piscine leur reste hospitalier. Il faut prendre une douche après s’être baigné. Évitez de porter un maillot mouillé.

Bien s’hydrater et utiliser de bons produits

La sècheresse vaginale est un facteur aggravant la prolifération de divers microbes et autres champignons. Pensez à bien s’hydrater pendant les bains de soleil. Ce serait encore mieux si vous pourrez vous rafraichir le corps régulièrement. Des produits existent pour hydrater les parties vaginales. Vous pourrez par exemple essayer un gel intime enrichi aux probiotiques. Il aidera à renforcer la défense immunitaire locale. La vaginose peut aussi être écartée par le port de tampon enrichi aux lactobacilles. Ces dernières équilibrent la flore vaginale.

Les médicaments dangereux

Selon la revue Prescrire, de nouveaux médicaments jugés dangereux sont à ajouter à la liste noire établie l’année dernière. La revue précise qu’entre bienfait et risques, ce sont ceux-ci qui ont plus de poids pour certains médicaments, autrement dit, ils font courir des risques sanitaires graves aux patients. En cette année 2019, ce sont donc 93 médicaments qui se trouvent sur cette fameuse liste noire. Leur utilisation est fortement déconseillée car il semble que ce sont des médicaments ne sont pas plus efficaces que cela, en tout cas, pas plus qu’un simple placebo. Cette année donc, ce sont 6 médicaments qui sont montrés du doigt. Parmi eux, Décontractyl comprimés ou baume, destiné à soulager les douleurs musculaires, mais pour les comprimés, entraînent de nombreux effets secondaires tels que des réactions allergiques graves, abus et dépendances, et pour le baume, des lésions cutanées importantes. Il y a aussi l’antitussif à base d’oxomémazine, aux propriétés neuroleptiques et qui expose ceux qui l’utilisent à des effets indésirables incroyablement graves.

Des médicaments à éviter

Parmi les médicaments qu’il faut désormais éviter, on peut citer aussi la pommade pour fissures anales Rectogesic. En fait, les études ont démontré qu’elle n’a aucune efficacité, et pourtant, elle peut causer des maux de tête fréquents. La cimétidine aussi est censée soigner des troubles gastriques et digestifs mais au final, elle expose à des interactions dangereuses avec un bon nombre de médicaments. La revue Prescrire affirme également que plusieurs médicaments contre le rhume présentent des risques graves pour la santé. Ce sont des vasoconstricteurs décongestionnant qui exposent ceux qui l’utilisent à des troubles cardiovasculaires d’une telle gravité qu’ils peuvent entraîner la mort. Sinon, le sujet peut être victime d’un AVC, de troubles du rythme cardiaque ou devenir hypertendu. Ces médicaments n’ont pas été retirés du marché, tout au moins, leur publicité a été interdite fin 2017. Un des médicaments à écarter de même, c’est l’Ocaliva, prescrit pour soigner une maladie rare, normalement.

Les meilleurs médicaments du marché

Tout semble indiquer qu’il y a de nombreux médicaments dangereux qui circulent encore sur le marché. D’ailleurs, sur les 93 médicaments de la liste noire, 82 sont vendus en France. Quant à ceux qui sont qualifiés de « meilleurs » médicaments, même leur efficacité n’est pas totale. Y figurent deux traitements, celui contre l’hépatite C et celui pour soigner le cancer métastasé de la prostate. Pour évaluer l’efficacité et surtout l’absence de danger d’un médicament sur un patient, la revue Prescrire affirme que les agences sanitaires devraient peser le pour et le contre, et voir si la balance bénéfice-risque est favorable ou non au patient. Elle clame que les autorités sanitaires devraient être purement et simplement retirées du marché par l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé ou ANSM.

Fièvre

Si un enfant a de la fièvre, le paracétamol ou l’ibuprofène provoquera souvent une baisse de la température de l’enfant, mais il n’est généralement pas nécessaire de baisser la température de l’enfant et cela n’aidera pas l’enfant à se rétablir plus rapidement.
Si un enfant a une faible fièvre (peut-être moins de 38,5 à 39 ° C), de nombreux médecins suggèrent que les parents n’ont pas besoin de donner du paracétamol ou de l’ibuprofène à leur enfant. Avoir une température élevée provoque des maux de tête, des sensations de malaise et des douleurs dans tout le corps, et abaisser la température peut aider l’enfant à se sentir plus à l’aise. Une température élevée est l’un des moyens utilisés par le système immunitaire pour contrôler les infections. Bien que l’abaissement théorique de la température puisse rendre le système immunitaire moins efficace, il ne semble pas y avoir de différence, voire aucune, dans la rapidité avec laquelle l’enfant redevient bien.
L’utilisation du paracétamol ou de l’ibuprofène ne protège pas l’enfant contre les convulsions fébriles, même si cela réduit la température de l’enfant.

Douleur

Le paracétamol ou l’ibuprofène peuvent rendre la douleur moins sévère, mais ils ne font pas disparaître la cause de la douleur. Ils peuvent aider un enfant à dormir plus facilement si l’enfant souffre, par exemple, d’une infection de l’oreille, d’un mal de gorge, de douleurs au ventre ou de douleurs aux jambes. Si la douleur dure plus de quelques heures, ou si elle est grave ou si l’enfant est clairement malade, il est important de savoir ce qui cause la douleur.

Immunisations

Il y a plusieurs années, la plupart des enfants avaient de la fièvre après leur vaccination et il était souvent recommandé de prendre du paracétamol au moment des injections.
Les vaccins ayant été modifiés, peu d’enfants développent de la fièvre et il n’est plus recommandé d’administrer du paracétamol ou de l’ibuprofène au moment de la vaccination. Le paracétamol ou l’ibuprofène administré avant une immunisation n’empêchera pas la piqûre aiguë de l’injection proprement dite. Si un enfant ne se sent pas bien ou a de la fièvre peu après l’immunisation, il est probable que cela soit causé par une autre infection, par exemple un rhume ou une infection de l’oreille.

Pendant la grossesse

Le paracétamol a été utilisé par les femmes enceintes pendant de nombreuses années sans aucun effet nocif évident sur le bébé en développement. Pour cette raison, le paracétamol est généralement recommandé comme antidouleur pour les femmes enceintes. D’autres analgésiques, y compris ceux vendus en vente libre sans ordonnance, ne se sont pas avérés plus sûrs que le paracétamol; certains ne conviennent pas à certaines étapes de la grossesse. Il est toutefois généralement recommandé aux femmes enceintes d’utiliser la plus faible dose de paracétamol qui fonctionne, aussi longtemps que nécessaire.